Notre cœur d’enfant joyeux, avec sa capacité à s’émerveiller, est accroché aux replis de notre Être. L’adulte responsable, sérieux et parfois grave que nous sommes devenu-e-s, doit s’en souvenir pour s’affranchir de lourdeurs de la vie. A tout moment, nous pouvons faire l’expérience de la beauté en chacun-d et en toute chose. Nous vivons alors un état de grâce ; un sentiment d’unité nous lie à l’âme du monde. Dans cet état d’émerveillement et de communion, il n’y a plus de place pour la souffrance, ni les manques … mais pour une joie qui évince l’égo capricieux. Alors, comme par enchantement, notre perception des situations s’élargit et change notre vie.