Voir également : Bronches
Cette maladie respiratoire est caractérisée par des crises de dyspnée aigue, souvent nocturnes à cause d’un brusque resserrement des bronches et des bronchioles par un spasme, un œdème à une hypersécrétion bronchique.
L’asthme peut être reliée autant à un sentiment d’étouffement, à une peur d’être abandonné ou la culpabilité de vivre.
Il n’y pas que l’amour qui puisse nous étouffer. Il peut s’agir aussi de l’autorité d’une personne ou encore de la sensation de ne pas voir d’issue à une situation dans laquelle on se sent « pris à la gorge »
La crise d’asthme peut devenir une fuite pour ne pas ressentir la souffrance que provoque le sentiment de rejet.
On peut ainsi refuser d’assumer son autonomie afin de conserver l’attention des autres pour nous. Cela devient subtilement une forme de manipulation qui produit le résultat inverse.
Cette manipulation finit par éloigner les êtres que l’on aime au lieu de les rapprocher de nous.
Enfin l’asthme peut résulter d’une culpabilité de vivre. Chaque fois qu’on se sent heureux et qu’on éprouve du plaisir, on déclenche une crise d’asthme pour saboter notre joie.
Questions à se poser :
- Ai-je peur de manquer d’air ?
- Est-ce que je me sens étouffé ? si oui, par qui ou par quoi ? Quels sont les bénéfices que je retire de mes crises d’asthme ?
- Est-il possible que je m’étouffe moi-même, car je ne veux pas assumer mon autonomie affective, parce que je crois avoir encore besoin de l’attention des autres pour vivre ?
Source : Méta médecine : la guérison à votre portée